Un amour né en enfance
Le lien unique qu’Anik Beaudoin partage avec la nourriture, il ne date pas d’hier. Toute jeune, elle habitait juste au-dessus de chez sa grand-mère. Peu après avoir appris à marcher, elle y descendait alors que ses parents dormaient encore le matin, pour aller la rejoindre et cuisiner avec elle. Ce fut son premier contact et son premier attachement à la nourriture. Enfant, elle se retrouvait souvent dans les cuisines des restaurants qu’elle fréquentait avec ses parents et sa curiosité pour l’arrière scène se voyait comblée. Pendant ses études à Montréal en musique et art dramatique, Anik a cumulé les emplois en restauration et a développé au fil des années un réel intérêt entrepreneurial. Le désir de créer un lieu où le théâtre de la restauration vous ouvre ses portes s’est réalisé en Auguste en 2008!
L'histoire du restaurant
Anik Beaudoin et Danny St-Pierre (2008-2015) avaient une mission définie ayant pour but d’offrir de délicieux plats, bien cuisinés avec des techniques poussées, dans une atmosphère détendue où la cuisine ouverte convie les clients au plaisir. Le nom du restaurant Auguste est d’ailleurs né d’une relation fictive entre Augustine, la grand-maman d’Anik et le chef cuisinier, Auguste Escoffier, le premier à codifier la grande cuisine. Bref, la rencontre de la cuisine ménagère et celle plus structurée de la gastronomie.
Depuis 2015, Anik a repris les rênes du restaurant et poursuit la mission en ajoutant celle de traverser le temps, les innovations, les différentes habitudes alimentaires et la gestion d’un approvisionnement responsable tout en gardant le plaisir simple et gouteux de la bistronomie. Accompagnée de son équipe, dont la cheffe Julie Sipling, elle considère la restauration comme une richesse culturelle qu’il faut défendre et préserver. Ce n’est pas pour rien que chez Auguste, presque tout est fait maison. Il ne faut surtout pas oublier le souci du détail qui rend heureux. Chez Auguste, l’expérience se veut totalement agréable!
Comments